Je suis en colère et je me sens impuissante. Je veux parler de l’injustice que subissent les aînés dans le système de santé québécois, hurler à nos dirigeants et leur dire de se réveiller et de mieux gérer leurs portefeuilles. Je veux que les personnes malades ou en fin de vie aient accès à de l’aide et à la dignité alors qu’elles luttent contre une douleur atroce ou une dépression accablante.
Je fais partie d’un groupe Facebook privé dans la région de Montréal qui apporte du soutien et des ressources aux familles en détresse face aux réalités du vieillissement. Aujourd’hui, un message bouleversant est apparu : un proche d’une personne âgée atteinte de sclérose en plaques avancée racontait son calvaire. Cette personne dépérit dans une chambre d’hôpital sans fenêtres, sans télévision, sans stimulation et sans personne avec qui interagir lorsqu’elle est seule. Les infirmières et préposés aux bénéficiaires, débordés, n’ont même pas le temps de la tourner suffisamment, si bien qu’elle est couverte d’escarres. La famille, très réduite, fait de son mieux avec les visites, mais elle ne peut être là 24/7.
Ce qui est révoltant, c’est que ce groupe communautaire connaît bien cette réalité, car de nombreuses familles ont vécu la même chose. Ce n’est pas un cas isolé.
Nous vieillirons tous, et beaucoup d’entre nous seront gravement malades avant de partir. Voulons-nous vivre cela ? Que faut-il pour créer un système de santé empreint de compassion, qui considère la santé physique et mentale dans son ensemble plutôt que de ne voir que les coûts ? Combien des dépenses astronomiques actuelles sont dues à des décisions improvisées du passé, qui traitent les symptômes sans s’attaquer aux causes réelles ?
Peut-être que le système de santé devrait être géré indépendamment du gouvernement, afin que des accords bipartisans puissent être conclus et que des solutions à long terme puissent être mises en place. Nous ne pouvons plus continuer à malmener nos institutions de santé, nos travailleurs et nos patients à coups de coupes budgétaires et de solutions miracles mal pensées à chaque changement de gouvernement. Nous méritons tous de vivre et de mourir avec dignité, avec des soins appropriés.
(Cette image est générée par IA, la réalité est encore plus triste.)
J’ai récemment renouvelé mon hypothèque et j’ai été découragée de voir qu’avec le taux actuel, je ne serais libre de dettes qu’à 71 ans ! J’avais en fait remboursé mon hypothèque il y a environ 15 ans, mais j’ai ensuite utilisé une marge de crédit hypothécaire pour faire d’importantes rénovations et ajouter une extension à
Ce matin, je me suis réveillée en réfléchissant aux personnes ayant atteint le cap des 100 ans et en me demandant si je souhaiterais la même chose pour moi. Ce que les aînés des Blue Zones semblent avoir en commun, c’est un mode de vie sain intégré naturellement à leur quotidien : Ils bougent constamment
Difficile de tout gérer en tant que professionnel(le) tout en étant aidant(e) familial(e) ? Il peut falloir des années avant qu’un parent malade accepte de quitter un logement qui ne lui convient plus, et les proches doivent sans cesse répondre à ses besoins croissants. Les rencontres mensuelles avec les experts de SeniorCareAccess permettent aux courtiers
