Une récente conversation avec une jeune femme m’a amené à réfléchir au nombre de fois où je suis entrée dans une maison appartenant à un « collectionneur » (c’est une façon plus polie de dire qu’il s’agit d’un.e accumulateur.trice compulsif.ive). Cette femme venait d’aider une amie à vider « la maison de maman », une tâche accablante et décourageante.
L’accumulation compulsive est une maladie mentale, souvent liée au trouble obsessionnel-compulsif (TOC), mais qui se manifeste de manière opposée. Les personnes touchées conservent toutes sortes d’objets… Je l’avoue, j’en suis moi-même un peu coupable. Nous pensons que nous pourrions en avoir besoin un jour, que les objets prendront de la valeur, ou qu’un article en bon état ne devrait pas être jeté. Cependant, à un certain point, cette accumulation peut devenir incontrôlable et mettre en danger le bien-être de la personne concernée. Il existe des tests et des traitements, donc si un membre de votre famille souffre d’accumulation compulsive, une aide professionnelle peut être nécessaire. Il ne suffit pas simplement de tout jeter.
J’ai trouvé cet article du Royaume-Uni particulièrement informatif et facile à lire.
Ici, au Québec, les familles peuvent trouver du soutien auprès d’Ami-Québec.
Si vous devez vendre une maison remplie d’objets accumulés, nous pouvons vous aider. La solution commence par trouver les bonnes personnes pour le travail. L’intégrité est essentielle : chaque document doit être vérifié avant d’être détruit ou jeté, et les objets de valeur doivent être soigneusement inventoriés. Ce n’est qu’une fois ce processus terminé que la maison peut être revitalisée et mise en vente.
N’hésitez pas à nous contacter par message ou par téléphone pour plus d’informations. Nous sommes là pour vous aider et serions ravis d’en discuter avec vous.
J’ai récemment renouvelé mon hypothèque et j’ai été découragée de voir qu’avec le taux actuel, je ne serais libre de dettes qu’à 71 ans ! J’avais en fait remboursé mon hypothèque il y a environ 15 ans, mais j’ai ensuite utilisé une marge de crédit hypothécaire pour faire d’importantes rénovations et ajouter une extension à
Ce matin, je me suis réveillée en réfléchissant aux personnes ayant atteint le cap des 100 ans et en me demandant si je souhaiterais la même chose pour moi. Ce que les aînés des Blue Zones semblent avoir en commun, c’est un mode de vie sain intégré naturellement à leur quotidien : Ils bougent constamment
Difficile de tout gérer en tant que professionnel(le) tout en étant aidant(e) familial(e) ? Il peut falloir des années avant qu’un parent malade accepte de quitter un logement qui ne lui convient plus, et les proches doivent sans cesse répondre à ses besoins croissants. Les rencontres mensuelles avec les experts de SeniorCareAccess permettent aux courtiers
